Une faible consommation de poisson peut entraîner des carences en minéraux

Le poisson constitue une excellente source de l'oligo-élément sélénium dont le corps a besoin pour réguler diverses fonctions physiologiques comme le système immunitaire et la glande thyroïde. Bien que la consommation française de poisson soit supérieure à celle de bien des pays européens, les Français n'ont malgré tout pas des apports suffisants en sélénium. Poursuivez la lecture et découvrez comment résoudre ce problème.

En France, la consommation annuelle de poisson par habitant est de 35,2 kgs, faisant de la France l'un des plus gros consommateurs de poisson en Europe.
Et il s'agit d'une bonne nouvelle car le poisson est considéré comme une bonne source de sélénium. Toutefois, malgré la relative bonne consommation de poisson parmi la plupart des individus, la population a généralement des difficultés à atteindre les niveaux souhaités en sélénium, à savoir 70 mcg par jour. Ainsi, on considère que l'alimentation moyenne n'en apporte que 45 microgrammes.

Nos sols manquent de sélénium

En plus du poisson et des crustacés, la viande, les légumes, les noix et les produits à base de céréales complètes constituent généralement des sources utiles en sélénium. Toutefois, la teneur en sélénium dans les sols agricoles européens, les sols français y compris, tend à être plutôt faible. De plus, certaines personnes excluent des catégories d'aliments de leur assiette pour diverses raisons ce qui rend encore plus compliquée l'atteinte d'apports adéquats en sélénium. C'est là qu'un supplément comme Sélénium+Zinc, contenant la levure SelenoPrecise, peut être utile.